Faits divers

Incendie rue Breton : l’enquête se poursuit

le lundi 03 juin 2024
Modifié à 8 h 50 min le 06 juin 2024
Par Valérie Lessard

vlessard@gravitemedia.com

Un véhicule se trouvait dans le garage au moment de l'incendie. (Photo: Le Reflet - Érick Rivest)

L’enquête se poursuit ce lundi pour tenter de déterminer les causes et circonstances de l’incendie d’un garage à Saint-Constant qui a blessé sérieusement huit personnes samedi soir. Les enquêteurs de la Régie incendie de l’Alliance des Grandes-Seigneuries vont travailler notamment avec les experts en sinistre de la compagnie d’assurance «pour bien explorer toutes les possibilités» et comprendre ce qui s’est passé, explique le directeur de la Régie, Claude Brosseau.

La scène incendie sur la rue Breton est d’ailleurs toujours protégée par la Régie intermunicipale de police Roussillon, qui assure une surveillance en permanence pour le moment, indique M. Brosseau.

De son côté, la Ville de Saint-Constant demande aux gens d’éviter le secteur « pour permettre aux équipes de travailler en toute sécurité et par respect pour les familles impliquées».

La Ville a également informé que le CLSC Kateri a mis en place de l’aide pour toute personne qui en ressentirait le besoin

Adulte : Guichet social au 450 659-7661, poste 1349

Enfant/adolescent : Guichet jeunesse au 1 888 556-3991

« Nous tenons à exprimer toute notre solidarité avec les victimes de l'incendie survenu samedi soir sur la rue Breton. Nos pensées sont avec vous. Nous tenons également à souligner le travail et le dévouement exceptionnel des pompiers, ambulanciers et policiers impliqués. Soyons bienveillants les uns envers les autres et n’hésitez pas à utiliser les services mis en place », mentionne le maire, Jean-Claude Boyer.

En soirée le 1er juin, une explosion serait survenue dans le garage situé en cour arrière d’une résidence de la rue Breton à Saint-Constant. Quatre adultes et quatre enfants ont subi des brûlures au deuxième et troisième degré et ont été transportés dans des hôpitaux de Montréal. Ce n’était pas possible d’avoir des nouvelles de leur état de santé au moment de publier.